La cité phocéenne est une porte vers l’inconnu
à travers laquelle transitent
depuis des siècles des saveurs, des idées, des matières,
des étoffes bien sûr,
intrigantes et propices à toutes les fantasmagories.
Parmi ces étoffes nous parvinrent celles qui excitèrent, sans doute, le plus
notre goût de l’interdit puisque leur apparition engendra une véritable prohibition :
On appelle ce choc textile, la folie des indiennes :
Vous pouvez retrouver ce texte dans le N°3 de notre Collection Soyeuse
I comme Impressions Indiennes
p157
"Folie et prohibition des Indiennes: Le goût de l'interdit"
Remerciements à Karine Rodriguez,
à Fabrice Denise et à son équipe du Musée d’Histoire de Marseille
et à Sébastien Cavalier.
Prologue et épilogue:
"Indes galantes" de Jean-Philippe Rameau,
réadaptées par Clément Cogitore avec le concours d’un groupe de danseurs de Krump,
et de trois chorégraphes : Bintou Dembele, Grichka et Brahim Rachiki.
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