Inauguration le Jeudi 19 Septembre à 18h30,
accès libre mais sur réservation durant le week-end des Journées du Patrimoine,
les 21 et 22 Septembre
(Voir programme complet sur Le blog de Vive la Tase!)
Paysages juxtaposés de vingt années d’occupation d’un site et d'activisme culturel.
L’Usine Tase autrefois vouée à la destruction, aujourd’hui classée en partie
est devenue l'épicentre d’un territoire en pleine métamorphose, le Carré de Soie.
Dans les ateliers du Silk me Back et au Chevet de la Belle Dormante, somptueuse cathédrale en acier,
machine à fabriquer la dentelle, Isabelle Moulin revient sur 20 années d'activisme culturel, sa démarche artistique ayant pour camp de base à présent cet atelier pour rayonner tout le long de la Route de la Soie...
Une installation à visiter uniquement sur rendez-vous et par groupe de vingt personnes.
En partenariat avec la Mission Carré de Soie, la Métropole de Lyon, la Ville de Vaulx-en-Velin, la ville de Givors, la ville de Taïpei, la ville de Sainte-Foy-les Lyon, l'Institut Français de Tokyo, l'Institut Français de Xi'An, l'Institut Français de New Delhi, la Comission Internationale de Sériciculture, le Musée des Arts Asiatiques Guimet de Paris, le Musée des Confluences de Lyon, le Musée des Tissus de Lyon, les Musées Gadagne, les Soieries Bonnet, l'Usine Dahua 35 à Xi'An, le Musée de la Soie de Hangzhou, la Cité du Design de Saint-Etienne, le Nouvel Institut Franco-Chinois, le CRBA, le Silk in Lyon, Unitex, Intersoie, Techtera, le Holding Textile Hermès, Valtex, Sfate et Combier, la Tararrienne de Rasage, Balas Industries, l'INSA, l'ENSATT, l'École de la Martinière Diderot,
la Fondation Sasakawa, la Fondation Hermès, la Fondation Sergio Poggianella, la Fondation Martin
l'Ensemble NOAO, Vive la Tase!, Aconit, Dentelles Vivantes.
Images et supports audiovisuels: Vartan Ohanian, Stéphane Rambaud, Wilfrid Haberey, Lucas Manificat.
Direction graphique: Jérôme Granjon-Studio Pupik.
Son et accoustique: Yvon Maurel.
Montage et construction: Marc Perez.
Local: Jocelyne Béard, Maxime Sermet et Bruno Dalmais.
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